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Prévoyance des auxiliaires médicaux, ce qu'il faut savoir

Publié le 15/11/2012

En tant qu’auxiliaire médical, vous optez souvent pour le statut TNS (travailleur non salarié). Le risque : ne plus pouvoir exercer votre activité professionnelle en cas de maladie ou d’accident. Cet arrêt d'activité, s’il dure longtemps, peut entraîner une importante perte de revenus. Face à cette situation, le régime obligatoire verse des prestations dont le niveau reste insuffisant. A titre d'exemple, en cas de maladie prolongée, le régime obligatoire n’intervient qu’à compter du 91ème jour… En attendant, c'est vous, ainsi que votre famille, qui en subissez les conséquences !

Cet article est une publi-information de la société GAN Prévoyance.

Pourquoi la prévoyance ?

La prévoyance, c'est couvrir les risques qui peuvent avoir des conséquences financières lourdes pour une personne et pour sa famille : accident, maladie, hospitalisation, décès… Un contrat de prévoyance est donc indispensable pour faire face à ces risques. Il permet notamment de maintenir un revenu, grâce à des indemnités journalières ou une rente d’invalidité, de manière à compléter de manière significative l'assurance obligatoire de base et de garder le même train de vie pour la famille.

Exemple : la prévoyance pour un auxiliaire médical

La protection du régime obligatoire de base des auxiliaires médicaux, la Carpimko, est insuffisante en cas de maladie les empêchant d'exercer leur activité professionnelle. Les indemnités journalières versées par le régime obligatoire assurent dans ce cas un revenu de remplacement à hauteur de 50 % du revenu professionnel annuel moyen des trois dernières années, dans la limite d'un plafond fixé par la Sécurité sociale (le PASS). Pour combler la différence, un infirmier libéral a donc tout intérêt à souscrire des garanties supplémentaires. Il pourra ainsi s'assurer le versement d’indemnités journalières complémentaires en cas d’arrêt de travail.

Et la retraite, y avez-vous pensé ?

Auxiliaires médicaux, savez-vous que vous percevrez 40 à 45 % de votre dernier revenu lorsque vous cesserez votre activité ? Si par exemple votre revenu en activité s’élève aujourd’hui à 3.000 € nets par mois, à la retraite il ne sera plus que de 1.200 € environ.

Pour faire face à cette baisse significative de revenus au moment du départ à la retraite, il est nécessaire de mettre en place des solutions d’épargne retraite tout en profitant de certains avantages fiscaux : la retraite en assurance-vie dans le cadre de la loi Madelin, le PERP (Plan d’Épargne Retraite Populaire) ou encore l’épargne salariale.

Un espace dédié aux auxiliaires médicaux

En tant que travailleurs non salariés, les auxiliaires médicaux ont besoin d’informations précises et complètes en matière de prévoyance et de retraite. Gan Prévoyance met à la disposition des professionnels de la santé (infirmières libérales, kinésithérapeutes, orthophonistes…) un espace on-line dédié.

Les auxiliaires médicaux pourront y trouver des informations pratiques concernant leur prévoyance, leur retraite et leur protection sociale, avec de nombreux dossiers thématiques qui les concernent directement. Cet espace dédié présente aussi un ensemble d'articles abordant les questions juridiques et fiscales liées au statut d’auxiliaire médical : loi Madelin, calcul des indemnités journalières, mode de calcul de la pension de retraite…

Retrouvez l'espace « Auxiliaires médicaux »

    Les conseillers Gan Prévoyance ont une parfaite connaissance de vos régimes obligatoires en prévoyance et en retraite.

    Parce que votre conseiller connaît bien votre statut et vos besoins, il sera en mesure de vous accompagner tout au long de votre vie avec une approche globale de vos attentes.

    Pour commencer, il peut établir avec vous un bilan complet de prévoyance pour déterminer vos besoins.

    Retrouvez l'espace « Auxiliaires médicaux »

    GAN Prévoyance


    Source : infirmiers.com