En cas de certaines blessures cutanées, il existerait un mécanisme antalgique qui limite la transmission du message douloureux au cerveau. Décrypter ce mécanisme pourrait aider au développement de molécules antidouleur.
Lorsque l'organisme présente des lésions cutanées, les terminaisons nerveuses envoient un message au cerveau qui génère la sensation de douleur. Mais à l'occasion d'une étude portant sur des patients atteints d'ulcère de buruli, une maladie tropicale qui provoque des ulcérations cutanées, les équipes de chercheurs de l'Inserm de Lille et d'Angers se sont aperçus que malgré la gravité de ces blessures cutanées, elles semblaient moins douloureuses que des égratignures.
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