Le stress pourrait considérablement augmenter le risque de fausse couche, selon une nouvelle étude publiée mardi 12 septembre dans la revue Scientific Reports : de 42%. La fausse couche, ou avortement spontané, représente la complication la plus fréquente de la grossesse. Elle se produit avant 24 semaines de gestation dans environ 20% des grossesses et dans 12 à 15% des grossesses cliniquement reconnues. Or les chercheurs, auteurs de cette récente étude, ont observé que le risque de fausse-couche était plus élevé chez les femmes ayant souffert de stress au début de leur grossesse, que ce soit des traumatismes émotionnels, des problèmes sociaux, d'argent, ou de couple, une charge trop importante de travail et des changements importants dans la situation personnelle (divorce, décès) ainsi que des fausses-couches antérieures. Cette analyse souligne la nécessité d'inclure dans les soins prénataux de routine une évaluation psychologique structurée au début de la grossesse
, suggèrent les auteurs.
Lire la suite sur le site de Pourquoidocteur.fr
INTERNATIONAL
Infirmiers, infirmières : appel à candidatures pour les prix "Reconnaissance" 2025 du SIDIIEF
HOSPITALISATION A DOMICILE
Un flash sécurité patient sur les évènements indésirables associés aux soins en HAD
THÉRAPIES COMPLÉMENTAIRES
Hypnose, méditation : la révolution silencieuse
RECRUTEMENT
Pénurie d'infirmiers : où en est-on ?