L'infirmière Sylvie Robillard soulevait la question sur notre site, quelques jours après les attentats du 13 novembre 2015, qui avaient endeuillé la France : comment soigner un terroriste ?
Ils exercent en prison, à l'hôpital ou encore interviennent sur des théâtres de guerre. Des médecins, des infirmiers, sont parfois amenés à soigner des blessés qui ne sont autres que de grands criminels, en toute connaissance de cause. Comment ces soignants font-ils pour dépasser ? Que ressentent-ils lorsqu'on leur demande de soigner un terroriste ou un meurtrier ? Plusieurs d'entre eux témoignent dans un article du Figaro, à l'image du Dr François Braun, président de Samu Urgences France qui résume ce que beaucoup pensent : la médecine d'urgence ne se pose pas la question. Nous soignons quelle que soit l'origine du patient. Quand on arrive sur un accident de voiture, on ne se demande pas qui est le chauffard et qui est la victime. Avec le terrorisme, c'est pareil
.
Si les soignants ont, dans certains cas, des états d'âme, la plupart n'ont aucune hésitation à accomplir les gestes qui sauvent, assurent-ils. Même si le contrecoup vient souvent après
, lorsque le travail est terminé.
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